Ajouts, précisions, éclaircissements

Cette page a pour objectif d’expliquer certains points en fonction des retours des lecteurs.

Si vous avez des remarques ou des questions, n’hésitez pas à écrire à l’adresse donnée à la fin du livre.


Coquilles identifiées

  • Page 16, fin du 3e paragraphe : Le système constitue une ligne temporelle unique […] (mot en gras oublié, merci Alain B.)
  • Page 20, avant-dernier paragraphe : […] sans jouer de la zone […] (mot barré en trop, merci Alain B.)

Complément d’information

Altération accidentelle et liaison

Comme expliqué page 59, la liaison de prolongation permet de faire durer une note au-delà de la mesure. Cette liaison relie deux notes à la même hauteur, la note n’est pas rejouée.

Dans le cas où la note est porteuse d’une altération accidentelle, la note est prolongée et l’altération accidentelle n’est pas réécrite malgré le changement de mesure. C’est donc une exception au principe énoncé page 80 sur la validité de l’altération accidentelle qui habituellement prend fin au changement de mesure.

La séquence BACH

Comme expliqué page 66, en allemand le H correspond à la note « Si ». Le compositeur Johann Sebastian Bach glissait dans ces composition le motif mélodique « Si bémol », « La », « Do », « Si ». Cette séquence de note s’écrit BACH en utilisant la dénomination allemande. C’était une manière de signer ses compositions de son nom.

Pour en lire davantage à ce sujet, vous pouvez consulter ces deux pages :
Sur le site Philharmonie de Paris
Sur le site wikipedia